La physique quantique décrit les phénomènes microscopiques au moyen d’équations différentielles complexes, notamment l’équation de Schrödinger. Ces équations reposent sur des notions abstraites telles que la fonction d’onde, la probabilité de présence ou encore la superposition d’états.
Or, il est possible d’exprimer ces mêmes principes sous une forme plus géométrique et tangible, en utilisant l’électrotechnique appliquée aux résistances ohmiques.
Dans les modèles classiques, l’air, le vide ou les matériaux conducteurs sont traités de manière distincte. Ici, on considère que toute matière — air, sol, métal — constitue un support géométrique sur lequel s’appliquent des équivalences résistives.
Ainsi, un cône en aluminium devient une "matière pure" simplifiée, mais reste porteur d’effets inductifs et capacitifs qui complexifient l’analyse. À l’inverse, une résistance purement ohmique géométrisée en triangle rectangle constitue le cas le plus simple, irréductible.
Dans ce cadre, la propagation d’un courant électrique peut être représentée par des distances équivalentes
, calculées en fonction de la résistivité du matériau et de la géométrie considérée.
Ces équivalences obéissent à des lois analogues à celles des circuits classiques ,Série et Parallèle .
Ces lois de combinaison sont strictement identiques aux règles de superposition d’états en mécanique quantique, où plusieurs chemins coexistent et interfèrent.
la Fonction d’onde traduit une probabilité de présence correspond à la répartition géométrique des chemins de conduction dans un cône ohmique.
Superposition quantique plusieurs états coexistent et interfèrent correspond aux couPLages en série/parallèle des distances équivalentes.
Expérience des deux fentes : interférences lumineuses correspond aux couPLages de résistances géométriques, où l’équivalent global dépend de tous les chemins possibles.
Complexité quantique : vient de la multiplicité des états en électrotechnique, elle provient de la géométrie et des couPLages multiples d’une même structure.
Cette approche ne nie pas la mécanique quantique, mais la simplifie en la traduisant dans un langage géométrique et mesurable. L’électrotechnique, par la notion de résistances équivalentes dans des structures comme le cône ohmique ou le triangle rectangle, fournit un outil pédagogique puissant pour représenter des phénomènes généralement réservés au domaine probabiliste.
En d’autres termes, la mécanique quantique et l’électrotechnique géométrique décrivent une même réalité sous deux formalismes différents : l’un abstrait et probabiliste, l’autre concret et géométrique.